Ces troupes ont montré leur capacité à ne devenir qu’un seul corps, solide et uni, autour de leur devise traditionnelle et sacrée « un pour tous et tous pour un ». Les rythmes rendent hommage au « Sabaatou Rijal », les sept gardiens spirituels de la métropole: Ces quartiers, dont ceux de Bab D’Bagh, Sabtiyyine, Bin Laarassi, Casbah, Ben Salah, Derb Dabachi, et d’El Moukkaf, ont pris l’habitude d’exceller en concours de Dakka pendant la nuit de l’Achoura surtout, en vue de perpétuer ce rite si ancrée dans le patrimoine de la ville. La Dakka de Marrakech est une tradition culturelle musicale du patrimoine oral de de la Ville Rouge. Med Bellamkaddam dit Baba Un des plus célébres chefs de la troupe marrakechi de la « Dekka ». La seconde phase ou phase médiane est simple, modérée et répétitive.
Nom: | music de dakka marrakchia |
Format: | Fichier D’archive |
Système d’exploitation: | Windows, Mac, Android, iOS |
Licence: | Usage Personnel Seulement |
Taille: | 10.69 MBytes |
Ceci par l’organisation d’événements devant profiter au premier lieu à la population locale mais aussi mmarrakchia visiteurs créant au passage un espace de rencontre et de mixité marqué par la tolérance et l’ouverture sur l’autre. Le caractère ample et majestueux de cette première phase, mueic par le chef percussionniste rappelle un peu les danses de l’Ahwâsh. Partie intégrante de l’héritage culturel remontant jusqu’à la dynastie de Saadian, Dakka Marrakchia est considéré comme un genre musical exclusivement masculin, qui se distingue par des percussions polyrythmiques et des chants choraux, et repris au travers des siècles, une fois par an, pendant le Festival d’Achoura. Elle est un prélude à la modification du rythme attendu lors de la troisième et dernière phase de cette dakka, appelée Afûs qui signifie main en berbère. Ces quartiers, dont ceux de Bab D’Bagh, Sabtiyyine, Bin Laarassi, Casbah, Ben Salah, Derb Dabachi, et d’El Moukkaf, ont pris l’habitude d’exceller en concours de Dakka pendant la nuit de l’Achoura surtout, en vue de perpétuer ce rite si ancrée dans le patrimoine de la dakka. Comme son nom l’indique, la Dakka El Marrakchia est originaire dwkka la ville impériale de Marrackech et est principalement mise en valeur lors de la fête religieuse de Achoura célébrée le dixième jour du nouvel an musulman.
Elle est un prélude à la modification du rythme attendu lors de la troisième et dernière phase de cette dakka, appelée Afûs qui signifie main en berbère. La Dakka d Marrakech est une tradition culturelle musicale du patrimoine oral de de la Ville Rouge.
La fête de Achoura est le temps privilégié de la musique, toute la médina vibre au son des tambourins, des crotales et du Neffar, longue trompe de cuivre.
Partie intégrante de l’héritage culturel remontant jusqu’à la dynastie de Saadian, Dakka Marrakchia est considéré comme un genre musical exclusivement masculin, qui se distingue par des percussions polyrythmiques et des chants choraux, et repris au travers des siècles, une fois par an, pendant le Festival d’Achoura.
La seconde phase ou phase médiane est simple, modérée et répétitive. Elle a également pour mission, muaic travers la programmation de certaines manifestations, de mettre en valeur, préserver et pérenniser des arts populaires locaux et des traditions ancestrales de la région.
Il mena pendant des années, la troupe partout au Maroc et dans le monde pour faire connaître cette musique authentique.
DAKKA MARRAKCHIA 2013
Ces quartiers, marrakchka ceux de Bab D’Bagh, Sabtiyyine, Bin Laarassi, Casbah, Ben Salah, Derb Dabachi, et d’El Moukkaf, ont pris l’habitude d’exceller en concours de Dakka pendant la nuit de l’Achoura surtout, en vue de perpétuer ce rite si ancrée dans le patrimoine de la ville. Les tanneurs sont à l’origine du texte fondateur de la Daqqa, les rythmes et les mouvements utilisés rappellent certaines étapes du tannage des peaux. Daqqa en arabe signifie frappe. Ceci par l’organisation d’événements devant profiter au premier lieu à la population locale mais aussi aux visiteurs créant au passage un espace de rencontre et de mixité marqué par la tolérance et l’ouverture sur l’autre.
Blog Music de DAKKA-MARRAKCHIA-NOUJOUM – DAKKA MARRAKCHIA NOUJOUM –
Dans les ruelles de la médina les troupes de chaque quartier rivalisent de virtuosité avant de se retrouver dans les jardins de la Ménara pour célébrer dans la joie la fête champêtre de la nzaha.
D Bellamkaddam dit Baba Un des muwic célébres chefs de la troupe marrakechi de la « Dekka ».
Le mouvement Dakka puise ses origines à Taroudantoù chaque habitant trouve en lui dakoa partie de son identité. Le caractère ample et majestueux de cette première phase, mené par le chef percussionniste rappelle un peu les danses de l’Ahwâsh.
Dakka marrakchia الدقة المراكشية
Depuis des siècles, chaque quartier propose sa propre troupe d’hommes, qui se distinguent chacun par leur oreille musicale, capable de saisir le sens du rythme et ayant suffisamment de forces pour pouvoir élever au plus haut l’étendard du patron sacré de leur ville.
La Fondation des Festivals de Marrakech a pour missions de développer, de densifier et de diversifier l’animation artistique et culturelle de la ville de Marrakech.
La troupe est constituée de nombreux percussionnistes qui débutent par des chants évoquant les saints de la ville avec tous les compliments qu’ils méritent. Comme son nom l’indique, la Dakka El Marrakchia est originaire de la ville impériale de Marrackech et est principalement mise en valeur lors de la fête religieuse de Achoura célébrée le dixième jour du nouvel an musulman.
Les rythmes rendent hommage au « Sabaatou Rijal », les sept gardiens spirituels de la métropole: Ces troupes ont montré leur xe à ne devenir qu’un seul corps, solide et uni, autour de leur devise traditionnelle et sacrée « un pour tous et tous pour un ». Les chanteurs vêtus de Djellaba, sakka la taguiya petit chapeau et forment un cercle ou demi-cercle. Rémunération en droits d’auteur Offre Premium Cookies et données personnelles.
Le Dakka a prospéré dans les quartiers, dans les endroits fréquentés par les artisans, qui sont les artistes des « D’Kaykiya ».